La parentalité positive, rappelle Isabelle Roskam (05:50), docteure en psychologie, insiste sur le respect dans lequel parents et enfants doivent évoluer. Pour prendre soin de l'enfant, l'adulte, le parent doit tout à la fois offrir de la bienveillance (accueil, soutien, chaleur, expériences...) mais également un cadre, une fermeté, des limites claires. En effet, le rôle du parent est d'humaniser l'enfant, de le socialiser [Lire la suite]
Un entretien avec Isabelle Roskam (05:57), docteure en psychologie
Un entretien avec Isabelle Roskam (02:35), docteure en psychologie
Isabelle Roskam (02:21), docteure en psychologie, explique combien être parent est une aventure faite de tâtonnements parce qu'il n'y a pas une façon d'être parent mais bien des rencontres singulières et uniques entre chaque parent et son enfant. Il n'y a pas de recette universelle de la bonne [Lire la suite]
Isabelle Roskam (05:18), docteure en psychologie, explique que la fatigue a toujours fait l'objet de préoccupations tant son impact est grand sur la santé physique et mentale. Le syndrome de fatigue a tout d'abord été associé, au 19ème siècle, au domaine du travail qui était devenu une préoccupation sociale centrale. Au cours du 20ème/21ème siècle s'ouvre une nouvelle ère de la parentalité : pour être reconnu comme [Lire la suite]
Un entretien avec Isabelle Roskam (03:53), docteure en psychologie
Pour Isabelle Roskam (05:01), docteure en psychologie, les professionnels de première ligne ont un rôle important pour aider les parents à se décaler des injonctions de performance, de réussite qui sont véhiculées dans le social. Cela passe par l'évitement des propos injonctifs ambiants sur la parentalité mais surtout par le soutien des parents dans les moments difficiles [Lire la suite]
Isabelle Roskam (05:35), docteure en psychologie, rappelle que la parentalité positive comporte deux volets : la bienveillance et la pose d'un cadre, de limites structurantes. Or aujourd'hui, certains excluent tout ce second volet et voient dans la pose de limites une forme de violence. C'est cette forme de parentalité, qu'on pourrait qualifier d'exclusivement positive, qui peut mener à une grande fatigue voire à un épuisement parental. Ce dévoiement des principes de parentalité positive vient du fait que les violences éducatives ordinaires sont décriées, en ce compris toute forme de...
Un entretien avec Isabelle Roskam (05:08), docteure en psychologie
Isabelle Roskam (05:35), docteure en psychologie, explique que si l'on écoute le vécu des parents, il nous indique que la parentalité amène des aspects positifs mais également des difficultés. Celles-ci sont parfois sous-estimées par le social qui survalorise le bonheur d'être parents. La clinique auprès des parents nous apprend que de vraies souffrances de types épuisement parental (burn out) ou des regrets [Lire la suite]
Étrange sentiment que d'assister au tollé provoqué par les récentes perquisitions au sein de l'Église et de sa commission ad hoc.
En quittant les bras de sa mère, l'enfant découvre le monde, ses limites et celles que lui soumet son entourage. Il les intégrera et les fera siennes peu à peu.
C'est avant tout dans la parole qu'il apprend progressivement les limites. Gambadant sur le trottoir, il s'arrête au moment où on lui dit d'attendre pour traverser. A ce moment-là, l'adulte lui tiendra la main et en profitera pour parler des dangers de la circulation. De même on lui dit de prendre garde à un puit, à un poêle brûlant...
Dès septembre, dans les écoles de la Bruyère, les cartables des enfants seront munis d'une puce afin de vérifier les allées et venues des enfants. Selon l'échevin communal de l'enseignement, il s'agit de faire gagner du temps à l'accueillante (qui notait les heures d'arrivées et de départ des élèves) ; gain de temps qui sera réinvesti, selon le même échevin, dans l'accueil des enfants ! !!
Un bel exemple de « dispositifs matériels hélas utilisés à la place de la parole ».
Fine communication ou hyper contrôle ?
L'attention du parent à l'égard de son bébé lui permet de répondre à ses besoins, d'être nourri, d'être pris dans les bras, d'être changé... Certains préconisent d'apprendre la propreté à leur enfant dès la naissance, une pratique, semble-t-il, en cours dans certaines régions d'Afrique ou d'Asie.
(...) Je suis maman célibataire (une fille de 10 ans) et je vis (...en) France.
Mais c'est sur un plan professionnel que je vous interroge : sur un cas précis où j'interviens en tant qu'enseignante (soutien scolaire) pour un enfant (fils unique), 10 ans, dont le papa s'est suicidé il y a 3 ans et élevé par sa mère et sa grand-mère aujourd'hui. Sa mère m'a demandé d'intervenir pour des problèmes de lecture. Au bout de 5 heures d'intervention et après avoir consulté ses orthophonistes/enseignants, je constate que :
Une institutrice s'interroge ...Qu'en pensez-vous ?
Les questions et difficultés rencontrées par un professionnel sont toujours éclairantes pour les autres car elles rejoignent des enjeux similaires. Aussi, par l'ouverture au débat en ligne, l'espace de discussion peut devenir un véritable moyen d'élaboration en commun.
Nous mettons à votre réflexion, une question que pose une institutrice face à un enfant qui va mal.
Certains proposent de faire de ce 25 avril la journée internationale « aliénation parentale ». Nous pensons que ce concept n'aide pas les professionnels. Voici pourquoi. Qu'en pensez-vous ?
« Aliénation parentale » : un concept qui peut causer du tort.
Les intervenants de terrain sont fréquemment interpellés ou mandatés pour intervenir dans une séparation litigieuse entre des adultes qui sont parents d'un ou de plusieurs enfants.