[Vidéo] Séparation parentale et continuité pour le bébé
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:29)
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Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:29)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (02:32)
Les besoins de continuité et de permanence du nourrisson excluent la garde alternée, de même que les nuits à l’extérieur. En effet, particulièrement durant les périodes d’endormissement, le bébé a besoin de sa mère à titre de figure d’attachement première, rassurante, sécurisante.
Même si l'enfant est capable de comprendre et de s'exprimer avec des mots, il est toujours nécessaire d'assurer une continuité chez lui. Des contacts fréquents avec le parent absent, des temps de vacances un peu plus longs permettront à l'enfant d'investir différemment chaque parent.
Entre 6 et 12 ans, l’enfant est sans doute le plus apte à supporter un hébergement alterné. Cependant, des conditions restent nécessaires : proximité géographique, proximité de l'école, absence de conflictualité entre les deux parents... Le sentiment de loyauté présent dans l'esprit de l'enfant donne également une teinte particulière à cette période.
Christine Frisch-Desmarez (02:32), pédopsychiatre, déplie les particularités du calendrier de Brazelton qui offre un point d'appui pour penser les modes de garde, en fonction de l'âge de l'enfant. Pour les tout-petits, le besoin de stabilité, de sécurité étant primordial, il suggère un lieu d'hébergement principal et des temps avec l'autre parent les plus fréquents possibles.
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (06:25)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez (04:34), pédopsychiatre et psychanalyste.
Certaines négligences, occasionnelles ou fortuites, restent sans grande conséquence. La maltraitance par négligence, par contre, revêt un caractère beaucoup plus grave. Elle consiste en de la négligence physique (soins, hygiène, alimentation, protection vestimentaire...) ou de la négligence affective (apports dans la relation insuffisants ou négatifs). Ses conséquences se traduisent par des troubles du développement, des retards, des difficultés scolaires graves, une estime de soi faible, voire à l'extrême une psychopathologie.
Un entretien avec Marc Gérard, pédopsychiatre. (05:06)
Un entretien avec Marc Gérard, pédopsychiatre. (03:05)