En admettant que l'enfant difficile est surtout un enfant en souffrance, on sort de la stigmatisation. On est prêt à accueillir cette souffrance et à entrer en relation de façon plus détendue, à être plus indulgent. Cela constitue bien souvent un premier pas vers la guérison.
Un entretien (04:50) avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.