[Vidéo] Tatouage à l’adolescence
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (06:39)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (06:39)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg.(01:34)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (01:21)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (03:46)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (04:02)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (02:23)
Selon David Le Breton (03:02), anthropologue et sociologue, certains adolescents cherchent à travers des conduites à risques telles que boire jusqu'au coma, les jeux d'étranglement à véritablement disparaître d'eux-mêmes, se libérer du fardeau de leur identité. Etre le fils de, l'élève... étant devenu insupportable pour eux. Ces conduites dangereuses leur permettent d'être véritablement délivrés d'eux-mêmes durant un court moment.
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (01:52)
David Le Breton, anthropologue et sociologue analyse comment la mort devient parfois un signifiant puissant à l'adolescence, une épreuve qui légitime l' existence en perte de repères.
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (02:07)
Un entretien avec David Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg. (01:47)
Pour David Le Breton (03:02) , les conduites à risque relèvent moins du pathologique que d’une logique inhérente à la condition humaine, conduites qui peuvent prendre des figures anthropologiques diverses. En dépit des souffrances dont elles témoignent, elles traduisent un acte de passage pour renaître au monde. Pour le jeune « Il s’agit d’accoucher de soi dans un corps à corps avec le monde. ».
De quoi les difficultés de l’enfant difficile sont-elles le signe ? Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste évoque les réalités très différentes allant des difficultés développementales d’ordre éducatif aux pathologies pédopsychiatriques. Par ailleurs, un enfant qui se développe ne se conforme pas toujours à l’idée que l’adulte, parent ou éducateur, s’en fait et ne répond pas toujours aux consignes éducatives.
Un entretien (06:44) avec François Ansermet psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien (05:46) avec François Ansermet psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien (04:31) avec François Ansermet psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien (04:51) avec François Ansermet psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien (02:17) avec François Ansermet psychiatre et psychanalyste réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien (02:11) avec François Ansermet psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
En admettant que l'enfant difficile est surtout un enfant en souffrance, on sort de la stigmatisation. On est prêt à accueillir cette souffrance et à entrer en relation de façon plus détendue, à être plus indulgent. Cela constitue bien souvent un premier pas vers la guérison.
Un entretien (04:50) avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Quand les comportements de l'enfant nous mettent en difficultés, qu'on se retrouve dans une impasse relationnelle, il est important de faire appel au groupe (collègues, professionnels,..).. Analyser en groupe ce qui se passe et ce que l'enfant essaye de dire permet de décaler la situation, de faire un pas hors du tourbillon dans lequel on est emporté.
Un entretien (02:11) avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants"...
Pierre Delion invite les professionnels de l'aide à faire un cercle, avec les parents, autour de l'enfant. Analyser ensemble ses comportements : quels sont les moments les plus critiques? quels sont ceux qui à l'inverse se passent bien? qu'est ce qui apaise l'enfant?... Cela permettra de mettre la souffrance de l'enfant, sous-jacente à ses difficultés, en lumière. C'est à travers ce nouvel éclairage, cette nouvelle grille de lecture, que les parents vont pouvoir renouer le contact avec leur enfant et penser à ce qui lui fait difficulté, en ce compris dans leur relation.
Face à un enfant difficile, la première tendance est de vouloir l'exclure, l'éloigner de soi. Pour remédier à ce premier élan, on peut échanger. En entendant le point de vue différent de collègues, de proches,...sur cet enfant, on perçoit qu'une autre relation est possible avec lui, ce qui redonne un peu d'élan et de courage.
Un entretien (02:53) avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en...
Un entretien (04:14) avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.