[Vidéo] Comment comprendre que l’enfant soit tour à tour présenté comme pur ou aguichant ?
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre et psychanalyste. (01:43)
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre et psychanalyste. (01:43)
Jean-Marie Forget, psychiatre, psychanalyste. (06:49)
Un entretien avec Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste. (03:57)
Un entretien avec Sophie Marinopoulos (04:01), psychologue, psychanalyste.
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (03:22)
Pascale Gustin (02:39), psychologue, explique que lorsque l'enfant joue, il fait des expériences cognitives essentielles à son développement. Si le parent accompagne l'enfant dans ses découvertes, même par le simple fait de s'intéresser à ce qu'il fait, alors le jeu devient magique. Ces jeux d'enfant laissent des traces importantes [Lire la suite]
Pour Pascale Gustin (04:14), psychologue, les parents ont du plaisir à offrir des jeux aux enfants. Ces derniers s'approprient l'objet et en font leur propre terrain d'expériences. En réaction, les parents s'adaptent aux signaux de l'enfant. Et parfois, [Lire la suite]
Pascale Gustin, psychologue clinicienne, interroge la pratique d'un retour à l'allaitement proposé par le parent à un aîné à l'occasion de la naissance d'un puiné. Ce désir du parent traduit souvent un vécu douloureux du à l’arrêt imposé et brutal de l’allaitement (maladie...).
Pour l’enfant aîné, cette pratique peut être vécue comme une régression.
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (04:35)
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (03:04)
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (03:47)
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (03:24)
Un entretien avec Pascale Gustin (04:19), psychologue clinicienne et psychanalyste.
Il n'existe pas de mot, dans la langue française, pour désigner le deuxième parent d'un enfant dans les couples de même sexe. Chaque famille choisit, imagine le surnom pour le désigner : "malou, mamou..."
Ces surnoms relèvent de la sphère intime, affective et ne permettent pas de nommer socialement le lien de filiation qui unit ce parent à l'enfant. Trouver un mot, à l'instar de père et mère, pemettrait de donner une place, un statut à ce second parent pour le faire exister socialement.
Pascale Gustin (03:51), psychologue clinicienne, rappelle combien chaque grossesse est particulière pour un parent, l'enfant ne vient pas au monde dans le même moment de sa vie, dans le même contexte de couple (période tumultueuse ou calme)... Chaque fois, il s'agit d'une expérience singulière qui remet en jeu ce qu'est l'être parent. Il est donc important de ne pas banaliser les affects, émotions, questionnements qui traversent les parents. Certains seront [Lire la suite]
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (03:20)
Un entretien avec Pascale Gustin (03:32), psychologue clinicienne et psychanalyste.
Lorsqu'une maman est en train de regarder la télévision ou un écran avec son bébé dans les bras, elle devient toute entière absorbée et détourne les yeux de ce dernier.
Or, le bébé grandit à travers ce qu'il lit dans les yeux de sa maman. A travers leurs échanges de regard, ils apprennent à se connaître, se découvrent, et le monde émotionnel de bébé se développe.
Un entretien avec Pierre Delion (05:48), pédopsychiatre et psychanalyste.
Pascale Gustin (04:10), psychologue clinicienne explique l'importance de mettre des mots lors du décès d'un bébé qui vient de naître. S'il est très difficile pour les parents de savoir comment en parler à la fratrie, il est essentiel d'en parler même dans le tâtonnement et l'émotion pour permettre aux aînés de nouer le fil de l'histoire familiale. Les professionnels autour des parents endeuillés sont essentiels pour les accompagner, aller à leur rencontre pour contenir la souffrance et aussi penser [Lire la suite]
Un entretien avec Pascale Gustin, psychologue clinicienne et psychanalyste. (04:48)
Parmi plusieurs études qu'il a réalisées, le chercheur montre le lien entre télévision et obésité, de même il montre "que les enfants qui regardent la télévision plus que la moyenne avant l'âge de 3 ans auront des capacités nettement inférieures en lecture et en mathématiques lors de leur entrée à l'école primaire. Cette association négative n'est pas énorme, mais elle persiste quand on contrôle statistiquement [c'est-à-dire quand on corrige les résultats en fonction de] l'intelligence et l'éducation de la mère. (...) Une autre étude indique que la télévision avant l'âge de 2 ans entrave sérieusement le développement du langage, même si la télévision en question est faite de vidéos "éducatives" spécifiquement destinées aux bébés."
Le site OWNI nous propose une interview de la chercheuse Danah Boyd
En France, le ministère de l'Education nationale prévoit d'instaurer des évaluations pour les enfants de 5 ans en école maternelle, qui comporteraient un volet comportemental intitulé « devenir élève » conduisant à trier les enfants en trois catégories :
C'est le retour sous une autre forme du carnet de comportement préconisé en 2005 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, et auquel il avait dû renoncer face à l'opposition vigoureuse des professionnels de la petite enfance et de la santé, des enseignants et des parents.
Billet invité
Je lisais tout récemment le relais fait par un blogger d’une recherche réalisée aux USA concernant le « cyberharcèlement » chez les jeunes. « 56% des 14-24 ans auraient été victimes de harcèlement digital aux US », titre celui-ci… Des chiffres effectivement alarmants qui m’ont poussé à approfondir la question. J’ai donc été consulter l’étude en question et j’y ai vu un bel exemple des mécanismes qui contribuent à construire une représentation anxiogène du cyberespace.
Les hommes, comme les femmes, sont faits pour élever les enfants... La soi-disant preuve irréfutable à l’appui de cette nouvelle théorie est une étude ( in les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences (Pnas)) qui montre que les taux de testostérone d’un groupe de jeunes Philippins ont diminué de 30% après qu’ils sont devenus pères –une diminution deux fois supérieure à celle constatée parmi les hommes du groupe restés célibataires et sans enfant au cours des quatre ans qu’a duré l’étude.
Sur Slate, William Saletan, démonte avec humour la demi-douzaine d’interprétations politiquement correctes inspirées par la même étude.