[Vidéo] Quelles sont les conséquences biologiques sur le développement de l’enfant qui vit dans un contexte de violence conjugale ?
Un entretien avec Catherine Belzung (06:18), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (06:18), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (04:43), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (04:18), biologiste.
Catherine Belzung (05:54), biologiste, explique que pour que les effets biologiques de la maltraitance sur le cerveau (impact sur certaines zones cérébrales telles le cortex préfrontal...) ne se transmettent pas d'une génération à une autre, l'idéal est de pouvoir agir sur la première génération, celle qui est maltraitée dans l'ici et maintenant. Une étude longitudinale (qui suit les enfants tout au long de leur développement [Lire la suite]
Un entretien avec Catherine Belzung (03:22), biologiste.
Catherine Belzung (05:58), biologiste fait état des conséquences biologiques de la maltraitance sur le développement de l'enfant. Soumis à de grands stress, leur cerveau produit beaucoup d'hormone du stress (notamment le cortisol) et de marqueurs d'inflammation. Cela a pour conséquence de modifier le volume de certaines régions du cerveau [Lire la suite]
Un entretien avec Claire Meersseman (04:08), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:22), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (02:53), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:45), psychologue clinicienne.
Claire Meersseman (03:45), psychologue clinicienne explique que l'intervenant sportif est souvent proche de l'enfant, il le voit régulièrement, le connait bien. Cette relation convoque également les enjeux du corps. Cette place particulière de l'intervenant peut l'amener à recevoir les confidences de l'enfant ou être le témoin de signes d'inquiétude. Lorsque cela arrive, il est important de ne pas rester seul, de pouvoir en parler [Lire la suite]
Claire Meersseman (05:30), psychologue clinicienne explique combien dans la plupart des situations de suspicion de maltraitance, même si c'est souvent difficile pour les intervenants qui entourent l'enfant, le temps est un allié précieux. Le travail en réseau (avec les collègues, la direction, des équipes spécialisées telles SOS enfants, les autres lieux de vie de l'enfant...) permettra de penser à ce qui peut être mis en place pour cet enfant, cette famille. Egalement, en partageant les inquiétudes autour de la souffrance de l'enfant avec ses parents, cela leur permet dans certains cas de s'...
Dans des situations d'inquiétude pour un enfant, il ne faut jamais rester seul en tant que professionnel, rappelle Claire Meersseman (04:16), psychologue clinicienne. Si je suis dans une école, je peux échanger, parler de mes inquiétudes avec mon équipe, ma direction, le PMS, le PSE pour penser à ce qui peut être fait pour venir en aide à cet enfant en souffrance, à cette famille. Faire appel à une équipe plus spécialisée ou qui a simplement plus l'habitude [Lire la suite]
Un entretien avec Claire Meersseman (04:13), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (04:33), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (02:49), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (02:36), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:28), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:39), psychologue clinicienne.
Dans une équipe, chacun, selon sa discipline et selon la place occupée, a un regard, une lecture sur la situation de telle ou telle famille déplie, Claire Meersseman (02:20), psychologue clinicienne. Si on envisage ce point de vue comme une pièce d'un grand puzzle dont les collègues ont d'autres pièces, cela invite à s'écouter, à échanger pour rendre le puzzle le plus complet possible [Lire la suite]
Claire Meersseman (03:53), psychologue clinicienne amène combien au sein d'une équipe, les vécus par rapport à une même situation peuvent grandement différer. Cela s'explique en partie par le fait que chacun va être en contact avec des personnes différentes : l'un s'occupe de l'enfant, l'autre rencontre régulièrement le parent. Cela peut générer des incompréhensions, des tensions [Lire la suite]
Un entretien avec Claire Meersseman (03:25), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:10), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (02:52), psychologue clinicienne.