Professionnels

[Vidéo] Ecrans : pourquoi s’autoriser à fixer des limites de temps, de lieux, de contenus ?

Comme pour toutes les sphères de la vie, l'univers des écrans nécessite que les adultes et les parents posent des limites adaptées au développement de l'enfant explique Olivier Duris (04:39), psychologue clinicien. Si un bébé ne gagne rien à être sur un écran, l'enfant plus grand doit être accompagné dans la découverte des mondes numériques. Petit à petit, il gagne en autonomie ; les temps d'écran peuvent évoluer mais l'importance de parler de ce qu'il y fait, d'échanger, de s'intéresser [Lire la suite

[Vidéo] Ecrans avant l'école, sources d'excitation pour l'enfant

Olivier Duris (03:23), psychologue rappelle la règle dite des 4 PAS qui offre une piste intéressante concernant l'utilisation des écrans par les enfants : Pas d'écran le matin, avant d'aller à l'école / Pas d'écran le soir avant de dormir / Pas d'écran durant les repas / Pas d'écran dans la chambre. Le matin, avant l'école, les écrans mettent l'enfant dans un  état d'excitation qui interfère avec la concentration [Lire la suite

Réflexions autour de la journée Internationale des droits de l'enfant

1. Point de vue Un article supplémentaire aux Droits de l'Enfant ? Le droit d'être guidé, cadré, limité... Cet article est paru dans Le Soir du 19 novembre 2007. Ah que c'est dur d'être adulte quand on s'appelle « la Convention internationale des droits de l'enfant » ! Cette année, en effet, cette importante charte fêtera ses dix-huit ans. La Convention est désormais majeure. Ça lui donne sans doute de nouveaux droits. Mais aussi peut-être, des nouveaux devoirs... [lire la suite] 2. Récréation... A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, Jean Dell et Yapaka.be vous...

La face cachée de la violence des jeunes

Régulièrement, les médias mettent à la une des
actes de violence agis par des mineurs : faits divers de vols,
insultes, rackets, incendies, meurtres…. Non objectivée, la violence
des jeunes est présentée comme explosive mettant en danger la sécurité
publique. En tant que professionnels, nous sommes touchés par l’impact
de ce sentiment d’insécurité nourrit par la peur de jeunes.

La disparition du certificat de bonne vie et mœurs

La presse s’est récemment fait l’écho d’émotions concernant
l’annulation de l’obligation pour les personnes travaillant avec les
enfants de produire un certificat de bonne vie et mœurs.

La Ligue des droits de l’Homme est notamment à l’origine de cet arrêt.
Nous avons demandé à Manuel Lambert, Conseiller juridique de Ligue des droits de l’Homme, de nous éclairer sur cette question.

Comme à l’accoutumée, notre rubrique débat est ouverte à vos réactions

 

"Alerte enlèvement"

Partant des Etats-Unis en 1996, ce dispositif médiatico-policier
diffuse massivement l'alerte en cas d'enlèvement d'enfant : télévision,
radio, panneaux routiers, annonces sonores dans les gares, les métros,
les aéroports… participent à diffuser, après une sirène
caractéristique, le message d'alerte en continu et fait appel à la
coopération de la population.

La Belgique verra-t-elle également la mise en place de cette alliance entre police, média et citoyens ?

Immatriculer les poussettes. Farfelu ou sérieux ?

Il s’agit bien d’une initiative très sérieuse visant à permettre de dénoncer un adulte « inadéquat » avec un enfant.

Le site HowsMyNanny.com propose un système de surveillance des « nounous ». Les parents souscrivent un abonnement, immatriculent de la poussette de leur enfant ; cela permet à tout passant de signaler un comportement douteux. Rapport leur est ensuite transmis par courrier électronique.

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