[Vidéo] Quand le professionnel sent le malaise du parent
Un entretien avec Julianna Vamos, docteur en psychologie (01:55), à l'occasion du Colloque "Soins, corps & langages" organisé les 15,16 et 17 novembre 2018 par l'ARIP.
Besoin d’une écoute ? Pour les enfants : 103 - Pour les adultes : 107
Parents, ados, enfants, des professionnels sont disponibles : Équipes SOS enfants, Services d’Aide à la jeunesse, PMS, SSM, Plannings,… yapaka.be/cartographie
Un entretien avec Julianna Vamos, docteur en psychologie (01:55), à l'occasion du Colloque "Soins, corps & langages" organisé les 15,16 et 17 novembre 2018 par l'ARIP.
Juliana Vamos (02:28), docteur en psychologie, nous invite à réfléchir à cette fausse idée qui nous amène parfois à considérer un bébé comme étant capricieux ; représentation qui traduit sans doute notre propre limite d’adulte à accompagner le bébé dans les mouvements difficiles qui le traversent. Car comprendre les pleurs du bébé, décoder son agitation relève de notre responsabilité d’adulte.
Un entretien avec Julianna Vamos, docteur en psychologie (02:35), à l'occasion du Colloque "Soins, corps & langages" organisé les 15,16 et 17 novembre 2018 par l'ARIP.
Un entretien avec Christine Davoudian, médecin (02:15), réalisé en marge du colloque de la Whaim belgo-luxembourgeoise : « Clinique actuelle du bébé et du jeune enfant » les 12 et 13 octobre 2018.
Un entretien avec Christine Davoudian, médecin (02:30), réalisé en marge du colloque de la Whaim belgo-luxembourgeoise : « Clinique actuelle du bébé et du jeune enfant » les 12 et 13 octobre 2018.
Un entretien avec Christine Davoudian, médecin (03:35), réalisé en marge du colloque de la Whaim belgo-luxembourgeoise : « Clinique actuelle du bébé et du jeune enfant » les 12 et 13 octobre 2018.
Pour Christine Davoudian, médecin (01:38) cette question de l'héritage transmis est d'autant plus difficile que le vécu dans le pays d'origine est empreint de douleur. Lorsque les parents ont fui le pays à cause de guerre, de traumatismes... il leur est souvent difficile, voire impossible, de transmettre la culture de ce pays qui les a tant fait souffir. Prenons le cas d'une langue dont les mots ont pu être dévoyés, par exemple, lors d'un génocide (un mot signifiait travail et soudainement il veut dire viol), [Lire la suite]
Un entretien avec Christine Davoudian, médecin (02:41), réalisé en marge du colloque de la Whaim belgo-luxembourgeoise : « Clinique actuelle du bébé et du jeune enfant » les 12 et13 octobre 2018.
Un entretien avec Christine Davoudian, médecin (03:37), réalisé en marge du colloque de la Whaim belgo-luxembourgeoise : « Clinique actuelle du bébé et du jeune enfant » les 12 et 13 octobre 2018.
Pour Christine Davoudian (01:45), médecin, outre les errances géographiques subies par ces mères, la violence symbolique de n'avoir pas de nom, pas d'inscription dans quelque lieu que ce soit, les fragilise extrêmement. Elles sont confrontées aujourd'hui, bien plus qu'hier, à des violences sociales qui les fragilisent dans leur rôle de mère. Si par le passé, le fait de n'avoir pas de papier signifiait être invisible, aujourd'hui, dans la société actuelle, ces femmes invisibles sont jugées, paradoxalement bien trop visibles et même indésirables dans le social.