[Vidéo] Le bébé découvre le monde avec sa bouche
Un entretien avec Sophie Marinopoulos (02:24), psychologue, psychanalyste.
Un entretien avec Sophie Marinopoulos (02:24), psychologue, psychanalyste.
Un entretien avec Sophie Marinopoulos (04:40), psychologue, psychanalyste.
Un entretien avec Sophie Marinopoulos (02:22), psychologue, psychanalyste.
Le champ de la protection de l’enfance et de la jeunesse offre un terrain privilégié aux paniques morales : un « fait divers » embrase l’opinion publique, suscite l’effroi, provoque l’indignation collective au nom de la norme en vigueur, pointe le coupable idéal, avant de provoquer un nouvel agencement politique. Partant de l’exceptionnel, la panique morale n’est pas une émotion fugace, elle suscite une altération durable des représentations culturelles. Et des changements sociaux.
Au travers de quelques épisodes de « paniques morales » qui ont contribué à orienter les choix politiques en matière de protection de la jeunesse, ce livre documente l’évolution de la sensibilité sociale à l’égard des déviances sexuelles dont les jeunes sont victimes ou coupables depuis la fin du XIXe siècle. L’analyse porte sur les acteurs (justice, experts, intervenants sociaux, entrepreneurs de morale, média, victimes, accusés), et sur les étapes du processus allant de la constitution d’un problème social, au fil d’une émotion populaire, à la prise en charge politique de ce problème.
Cet ouvrage s'inscrit dans le projet d'Action de recherche concertée (financement de la Fédération Wallonie-Bruxelles) « Jeunesse et violence : approches socio-historiques », dirigé par Fabienne Brion, Jean-Michel Chaumont et Xavier Rousseaux, et coordonné par David Niget. L'objet de cette recherche est d'étudier dans la longue durée les conditions socio-politiques d'émergence de comportements et situations désignés comme violents, dont les jeunes seraient auteurs ou victimes.
Lire aussi : "Un regard historique sur les « croisades morales" carte blanche de Christine Machiels et David Niget, Le Soir, 2009
VIDEO: Un entretien avec Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste. (02:54)
"J'ai un secret que je ne peux dire à personne"... "C'est dur, l'école" ... "Mes parents se séparent" ...
La campagne s'articule autour du livre « Une vie de chien ? » qui permet de faciliter les échanges entre adultes et enfants. Cet outil aborde la prévention de la maltraitance de manière globale et non stigmatisante et favorise l’émergence de la parole et du dialogue. Il s'agit d'inviter les enfants à parler à des adultes de leur entourage, sur qui ils peuvent compter, pour partager les grands bonheurs de leur vie, leurs questions mais aussi les secrets qu'ils pensent ne pas pouvoir confier.
VIDEO: un entretien avec Serge Tisseron, psychiatre, psychanalyste ( 06:58)
Par ailleurs, on peut lire l'entretien de Serge Tisseron " Fusillade d'Aurora: de quoi Batman est-il le nom? " sur le site suivant
un entretien avec Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste ( 09:04)
Internet et les jeux vidéo appartiennent maintenant à notre quotidien, ce qui ne les empêche pas d’être régulièrement au centre de polémiques. On leur prête volontiers une influence négative sur les nouvelles générations. C’est ainsi que depuis quelques années, le concept de « cyberdépendances » est utilisé pour évoquer l’usage abusif qui peut être fait de ces technologies. On pourrait être accro à celles-ci comme à une substance psychotrope. De la même façon, elles sont accusées d’engendrer de la violence et des passages à l’acte. Au même titre que le rock and roll, il y a quelques années, elles sont suspectées d’entretenir chez les jeunes un imaginaire malsain. Des faits divers, parfois dramatiques, viendraient ponctuellement créditer ces hypothèses. Néanmoins, les résultats des recherches menées sur ces questions invitent à nuancer sérieusement ces affirmations.