[Vidéo] Adolescence : cible privilégiée du djihad ?
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (03:35)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (03:35)
Philippe Gutton, psychiatre, décrit l’engagement à l’adolescence comme exemplaire de cette période de passage de l’enfance à l’âge adulte. L’adolescent est pris de vertige devant cette page blanche. Cette quête prend généralement une voie créative. Mais, sans soutien, ni ressource sur lesquelles s’appuyer, le désir de se détruire prend parfois le pas. En cette période post cirse sanitaire et de perte de sens, ce propos appèle à être entendu par l'adulte.
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (02:50)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (03:24)
« Le métier d’éducateur, c’est d’avoir de l’autorité », Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste expose dans cet entretien (03:09) l’aptitude nécessaire pour tenir une place éducative, consistante face à l’adolescent. Pour se construire, l’adolescent est en quête d’autorité...
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (03:09)
Philippe Gutton (02:25), psychiatre invite à penser le djihad aussi à la faveur des mécanismes psychiques à l'œuvre à l'adolescence. Il existe des similitudes entre un adolescent en fugue, en errance, présentant des troubles du comportement et un adolescent radicalisé.
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (03:44)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (03:23)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (02:27)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (01:53)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (02:27)
Un entretien avec Philippe Gutton, psychiatre, psychanalyste. (01:53)
Jean-Marie Forget (05:44), psychiatre rappelle que l’adolescence est une période de tâtonnement, de brouillons. A l’image de l’enfant qui apprend à marcher et qui prend appui sur son déséquilibre pour aller de l’avant, l’adolescent doit s’essayer dans sa parole, son identité pour la consolider. Cette identité, cette parole se construisent [Lire la suite]
Un entretien avec Jean-Marie Forget, psychiatre, psychanalyste. (01:53)
David Le Breton, sociologue et anthropologue, analyse la complexité du rapport de l'adolescent à son corps. En effet, l’adolescence, signe l’entrée dans la sexualité, le corps devient lieu de sexuation, le jeune doit entrer dans un genre ou le refuser (dans le cas de la transexualité par exemple). Cette entrée dans la sexualité est source de questionnements, d'interrogations. (03:52)
Un entretien avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste. (06:06)
Un entretien avec Jean-Marie Forget, psychiatre, psychanalyste. (05:55).
En tant que professionnels, face à un adolescent qui provoque, nous sommes toujours sollicités, en partie, sur un versant personnel. Là, réside la difficulté voire le malaise...
Un entretien avec Jean-Pierre Lebrun, psychiatre et psychanalyste(05:04) qui pose la question du rapport entre un discours social qui pousse à la jouissance sans la différer, sans renoncer donc à sa toute puissance première et l’augmentation des passages à l’actes des jeunes aujourd’hui.
Un entretien avec Alain Braconnier (04:04), psychiatre et psychanalyste spécialiste de l’enfance qui fait le constat que l’âge des premières relations sexuelles des adolescents reste constant depuis près de 50 ans, malgré la culture hypersexualisée de notre société contemporaine.
Bernard Golse, pédiatre, pédopsychiatre explique l'ambivalence, entre amour et haine, présente dans toute relation dont il est difficile à faire entendre particulèrement dans la relation maternelle. Jouer avec cette ambivalence, adopter des rituels, des mécanismes de défense épongent cette présence simultanée de sentiments contradictoires. Ces détours sont précieux pour penser la haine et prévenir la maltraitance. (03:51)
Un entretien avec Françoise Molénat (03:21), pédopsychiatre.
Un entretien avec Alain Braconnier (04:03), psychanalyste spécialiste de l’enfance, réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien avec Patricia Baguet (4:50), pédospychiatre.
Les enfants découvrent le monde à travers leur motricité : ils bougent, jouent... Petit à petit, avec l'appui des adultes, ils apprennent à contrôler leur motricité, leur pulsionnalité...
Patricia Baguet (3:39), explique comment les écrans provoquent une agitation psychique et en particulier chez les jeunes enfants. En effet, ils n'ont pas encore l'équipement neurologique nécessaire pour résister au trop plein de stimulations générés. Et cela peu importe le contenu. Il est donc vivement conseillé de ne pas mettre les enfants de moins de 3 ans devant un écran. Par la suite, leur utilisation sera progressive, toujours accompagnée et adaptée à l'âge de l'enfant.
Un entretien avec Patricia Baguet (3:50), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (3:18), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (1:45), pédospychiatre.
Auteur : Patricia Baguet
Un entretien avec Patricia Baguet, pédospychiatre. (3:42)
Un entretien avec Patricia Baguet (4:20), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet, pédospychiatre. (5:18)
Un entretien avec Patricia Baguet (3:48), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (6:30), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet, pédospychiatre. (3:14)
Un entretien avec Patricia Baguet (3:59), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (1:34), pédospychiatre.
Pour Pascale Gustin (05:41), si les "sièges coques" sont très pratiques, il convient de s’interroger sur la durée que l’enfant passe dedans, ces derniers le limitant dans ses différents besoins. En effet, le bébé a besoin d’être porté dans les bras, d’être contenu à même le corps de l’adulte, il a aussi besoin d’explorer sa propre mobilité, de ressentir la pesanteur…
Un entretien (02:21) avec Marie Rose Moro, professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l' Université Paris Descartes, réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Patricia Baguet (3:35), pédospychiatre explique combien le quotidien avec un enfant qui présente de l'agitation, de l'impulsivité, des difficultés d'attention peut devenir compliqué et obscur. Se mêlent fatigue, inquiétude, énervement mais aussi fragilisation de la fonction parentale, pertes de repères ; là où les principes éducatifs s’étaient montrés [Lire la suite]
Un entretien avec Patricia Baguet (4:49), pédospychiatre.
Etre à l'écoute de la souffrance de l'enfant et de sa famille, comprendre ce que chacun vit et traduire les difficultés en jeu accompagneront toujours un diagnostic. Au delà de la seule symptomatologie, et en dehors de tout étiquetage, le diagnostic envisagera toutes les pistes de prise en charge dans une visée évolutive.
Un entretien avec Pierre Delion, psychiatre et psychanalyste. (04:44)
Pierre Delion attire l’attention sur le danger de réponses toute faites de type « à tel symptôme, tel remède » et privilégie des solutions pensées pour chaque enfant dans sa position particulière.
Un entretien avec Patrick Landman, pédopsychiatre (2:28)
Il faut garder à l'esprit, quand on regarde les études qui mesurent les effets secondaires, les bénéfices, les conséquences,...du méthylphénidate sur les enfants, que les entreprises pharmaceutiques ont des intérêts financiers à défendre. Ces études sont parfois financées par les entreprises elles-mêmes, sans aucune obligation de démontrer leurs conclusions. Aucun regard extérieur sur le choix des participants, sur les chiffres, les statistiques, le raisonnement,....
En contexte migratoire, Marie Rose Moro (01:47), professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent déplie combien valoriser la langue maternelle de l'enfant, l’histoire de sa famille, sa culture... l'aide à s’ouvrir à la culture d’accueil, à développer son identité. Le rôle de l’école, de la structure [Lire la suite]
Un entretien (04:41) avec Bernard Golse, pédiatre, pédopsychiatre et psychanalyste, réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien de 2 minutes avec Sophie Marinopoulos, psychologue, psychanalyste pour (re)découvrir tout ce que peut retirer un enfant en échangeant ou donnant ses anciens jouets. Il y prend plaisir et y retrouve l’imaginaire du jeu du magasin. Sans valeur marchande, juste l’envie de transmettre la joie qu’il a eue avec ce jeu.
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:36)
En grandissant, l’enfant développe peu à peu sa motricité, sa capacité langagière, également sa capacité de symbolisation. Progressivement l’enfant acquiert la capacité de garder en lui la présence de son parent même absent ; cet élément est essentiel comme condition sécure pour l’enfant en cas de garde alternée.
Au Centre d'enseignement libre de Liège, S2J (anciennement Institut Saint-Sépulcre), les élèves de puériculture ont l'opportunité de poursuivre une formation "d'assistant postnatal à domicile" en 7ème année. Le métier d'APND, qui n'est pas encore reconnu en Wallonie, consiste à accompagner les familles au retour de la maternité. Cet accompagnement à domicile peut être de plusieurs jours par semaine et sa durée dépendra des besoins de la famille.
Les jeunes parents se sentent parfois fort seuls pour affronter les transformations liées à leur nouveau rôle. L'APND est là pour accompagner leurs...
Pierre Delion (05:53), psychiatre, rappelle combien avec un enfant difficile, le professionnel mis à mal doit pouvoir compter sur la consistance et le soutien de son équipe. Travailler en équipe implique des regards différents : être en empathie avec le parent [Lire la suite]
Sophie Marinopoulos (02:07), psychologue, rappelle combien les jeux d'affrontement, les jeux de guerre ou les jeux dans lesquels les enfants mettent en scène de la violence, leur permettent de grandir, tant qu'ils restent dans le faire semblant. Ils mettent en scène leur agressivité, [Lire la suite]