[Vidéo] Covid-19, l’engagement solidaire à l’adolescence, une modalité de construction de soi et d’action sur l’actualité
Un entretien avec Aurore Mairy (03:00), pédopsychiatre, dans le contexte du Covid-19.
Un entretien avec Aurore Mairy (03:00), pédopsychiatre, dans le contexte du Covid-19.
[Ce Webinaire a eu lieu avec Antoine Masson le 17 avril 2020]
Antoine Masson a abordé quelques unes des questions suivantes au cours de la conférence sur les adolescents en ce temps de confinement, distanciation et crise sanitaire :
Mise au défi et/ou mise en veille des processus de l’adolescence ?
Un entretien avec Christine Desmarez (04:20), pédopsychiatre, dans le contexte du Covid-19.
Un entretien avec Christine Desmarez (04:33), pédopsychiatre, dans le contexte du Covid-19.
Antoine Masson (03:17), psychiatre, expose en quoi les processus adolescentaires sont mis en veille et en souffrance dans ce contexte sanitaire : confinement familial, distance avec les pairs, les proches... sont générateurs d'anxiété, de dépression... Les adolescents empêchés dans leur processus adolescentaire, dans les remaniements psychiques à l'œuvre (intrusion de la sexualité, bouleversement des émotions...) et dans le lien social sont mis en veille.
Un entretien avec Antoine Masson (02:06), psychiatre, dans le contexte du Covid-19.
Un entretien avec Antoine Masson (02:51), psychiatre, dans le contexte du Covid-19.
Antoine Masson (03:18), psychiatre, explore en quoi la sexualité à l’adolescence se pose d’une manière particulière dans ce contexte de crise. Toutefois, ce défi se pose comme un enjeu toujours à l’œuvre pour l’adolescent : celui de concilier sexualité, érotisme et amour. L’absence de l’autre empêche une sexualité agie, partagée et ouvre sur un pari d’inventivité, d’élaboration, de créativité. L’accompagnement de l’adulte y est sollicité dans un respect et une distance ajustée.
Un entretien avec Antoine Masson (01:36), psychiatre, dans le contexte du Covid-19.
Le contexte ambiant fragilise certains ados envahis par l'anxiété qui surgit en agressivité. L’accompagnement des adultes est alors particulièrement mobilisé alors que paradoxalement la situation de confinement insupporte l’adolescent du fait de la proximité rapprochée avec eux. Anticiper les débordements, nommer le malaise en présence, dialoguer… sont quelques pistes étayées par Christine Desmarez (06:05), pédopsychiatre, pour contenir l’agressivité des adolescents.