On constate de plus en plus que certaines familles n’ont pas cette capacité de transmission et d’éducation au bien-être. Parce qu’elles se trouvent elles-mêmes en situation de difficulté; ayant vécu des choses difficiles dans leur vie, ces familles se trouvent elles-mêmes en souffrance psychique et ne sont donc pas forcément en état de transmettre cela à leurs enfants.
Ces jeunes n’ont pas intégré dans le développement personnel et dans leur bien-être la façon d’échapper à ces difficultés ou de les gérer, de passer à travers celles-ci. On constate aujourd’hui qu’il y a un nombre croissant de jeunes qui présentent des déficits à ce niveau, même s’ils n’ont pas forcément de lacunes au niveau de l’apprentissage. Ils savent lire, écrire, calculer mais ils n’arrivent pas à se comporter correctement, à avoir des conduites adaptées à ce qu’à la fois eux et leur entourage direct se sentent bien.
Les ateliers du bien-être consistent à profiter de cette vie communautaire pour faire de petits exercices de sensibilisation avec des professeurs formés à cela ou avec l’aide de psychologues des PMS, comme cela se pratique d’ailleurs déjà d’une certaine façon, lors de certaines activités comme la psychomotricité chez les petits. Car aujourd’hui, la structure scolaire ne peut pas se limiter à dispenser du savoir, elle doit, jusqu’à un certain point, se pencher sur cet aspect de l’éducation au bien-être.
Isy PELC
gratuit et repas sandwich offert
Mais inscription obligatoire pour le 18 mars au plus tard
