Spot "La dispute des parents frappe les enfants"
Partant du regard de l'enfant, ce spot témoigne de l'effet sur lui de la dispute parentale.
Besoin d’une écoute ? Pour les enfants : 103 - Pour les adultes : 107
Parents, ados, enfants, des professionnels sont disponibles : Équipes SOS enfants, Services d’Aide à la jeunesse, PMS, SSM, Plannings,… yapaka.be/cartographie
Partant du regard de l'enfant, ce spot témoigne de l'effet sur lui de la dispute parentale.
Pierre Delion (04:38), pédopsychiatre, rappelle combien pour les enfants, avoir un lieu hors de la famille pour parler du choc causé par un évènement tragique est important. A l'école, l'enseignant peut apporter des informations qui leur permettent de mieux comprendre ce qui s'est passé et surtout, celui-ci peut ouvrir la discussion sur le vécu de chacun. En donnant la possibilité [Lire la suite]
Un entretien (03:05) avec Bernard Golse, pédiatre, pédopsychiatre et psychanalyste, qui revient sur ce qui se rejoue de la petite enfance à l'adolecsence.
Comme par exemple l'importance du groupe à l'adolescence qui relève de la même nécessité de contenance, d'enveloppes nécessaires au bébé pour se sentir en sécurité. Un autre exemple est celui de l'angoisse de séparation, de différenciation vis à vis de l'autre. Lorsque le bébé "attaque" les objets, il vérifie leur résistence, de la même manière l'adolescent teste ses parents pour en vérifier leur solidité.
Un entretien (02:28) avec Bernard Golse, pédiatre, pédopsychiatre et psychanalyste.
Sylvain Missonnier (04:15) aborde la notion du temps dans les familles fragilisées. Lorsque des difficultés (chômage, dépression...) surgissent au sein d'une famille, un des premiers dérèglements qui survient est sa capacité d'organiser le temps. Anticiper les événements, planifier... devient trop compliqué. Or, pour les enfants, le fait de pouvoir s'appuyer sur un quotidien stable, dont ils peuvent anticiper le déroulement, est très important, structurant.
Un entretien avec Sylvain Missonnier (03:44), professeur de psychologie clinique de la périnatalité réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien avec Sylvain Missonnier (02:26), professeur de psychologie clinique de la périnatalité réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA (link is external) "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Un entretien avec Sylvain Missonnier (02:14), professeur de psychologie clinique de la périnatalité réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Sylvain Missionnier, psychologue clinicien, interroge le mode de garde qui consiste à laisser l'enfant dans un domicile unique et à faire bouger ses parents. Dans certaines situations très conflictuelles, la mise en place d'une telle solution témoigne de la possibilité pour les parents d'un décentrage de leurs propres besoins pour véritablement s'identifier à leur enfant. Mais, ce n'est alors plus l'ordre, la géographie parentale qui gouverne mais bien celle de l'enfant... Les conséquences à long terme, pour l'enfant, d'une telle inversion générationnelle sont à interroger.
Un entretien avec Sylvain Missonnier (02:25), professeur de psychologie clinique de la périnatalité, réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Si le nourrisson investit plusieurs figures d'attachement : parents, nounou, grands parents... il a besoin que l'une d'entres-elles constitue son port d'attache. "L'enfant a besoin d'une personne qui orchestre l'intendance entre tous ses gardes du corps". Cette personne "fil rouge" joue un rôle...