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Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (03:09)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (03:19)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (04:00)

Angélique Gozlan (03:35), docteure en psychopathologie décrit en quoi les réseaux sociaux contribuent à la construction subjectivante de l'adolescent en le mettant en lien avec ses pairs, avec ses représentations de lui-même (photos, écrits...). Tout cela ne peut être positif que si [Lire la suite] 

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (03:19)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. ( 02:25)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (03:20)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (02:36)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (02:42)

Angélique Gozlan (02:43), docteure en psychopathologie, explique comment les challenges sur les réseaux sociaux peuvent à la fois être lus comme des rites de passage et comme un moyen de renouer, pour les adolescents, avec la toute puissance infantile : "Vais-je réussir là où les autres échouent ?" 

Un entretien avec Angélique Gozlan (02:34), docteure en psychopathologie et psychanalyse.

Un entretien avec Angélique Gozlan (02:46), docteure en psychopathologie et psychanalyse.

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (02:15)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (04:25)

Un entretien avec Angélique Gozlan, psychologue clinicienne. (02:37)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (01:43)

Angélique Gozlan (02:23), psychologue clinicienne aborde cette notion de sexting - qui consiste à envoyer des messages à caractère sexuel, des photos de soi intimes - qui, à l'adolescence, permet pour certains une appropriation de leur propre corps, de leur féminité, [Lire la suite]

Le cyberharcèlement peut entrainer, comme l'explique Angélique Gozlan (01:42) des pathologies telles que la dépression, ou encore la phobie sociale ou scolaire. Dans ce dernier cas de figure, l'adolescent généralise sa peur de l'agresseur à l'ensemble du système scolaire. Cela se produit généralement lorsque le corps enseignant n'a pas vu ou pas considéré cette problématique et a laissé l'adolescent seul face à sa difficulté. Ce qui provoque chez ce dernier un sentiment d'insécurité massif et l'empêche d'affronter son angoisse.

Angélique Gozlan (02:17) déplie l'importance de l'école dans les situations de cyberharcèlement. En effet, dans beaucoup de situations, ce qui se joue derrière les écrans a un impact sur ce qui se passe entre les murs de l'école. 

Angélique Gozlan (02:35) décrit en quoi l'évolution continuelle des technologies qui peut parfois donner l'impression aux adultes d'être dépassés, les adolescents ont besoin d'être accompagnés dans leurs pratiques numériques, comme ils le sont dans les autres sphères de leur vie. 

Angélique Gozlan, psychologue clinicienne, évoque le manque d'assurance et de confiance en soi de la part de nombreux harceleurs qui, dans une vision clivée du monde, recourent à des actes de harcèlement par peur d'en être vicitmes.  Il y a d'autres situations où l'auteur a été victime par le passé et cherche à se faire une nouvelle place, un nouveau statut plus "prestigieux' dans la communauté.  (02:12)

Un  entretien avec Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie et psychanalyse. (03:09)

La toile est un espace où l'absence de présence physique entre les individus donne l'impression d'une irréalité, et provoque une levée des inhibitions explique Angélique Gozlan, psychologue clinicienne (02:23).Ce qui peut entrainer et pousser les individus à des déferlements de haine. Mais, les conséquences sur les personnes sont bien réelles.  

Angélique Gozlan, docteure en psychopathologie    (02:49)