Une centaine de professionnels du secteur de l'aide à la jeunesse se sont réunis devant le cabinet de la minsitre Glatigny (le mardi 14/01/23) pour réclamer plus de moyens pour prendre en charge des enfants dont le développement est compromis par les conditions de vie dans leur famille d'origine.
A Bruxelles, la situation est particulièrement critique, il manque quelques 500 places, ce qui provoque des dégâts sur les enfants forcés de restés dans leur famille dans laquelle ils vivent des situations de maltraitance (négligence, violence conjugale, maltraitance physique...). La situation économique ne fait qu'empirer la situation pour ces enfants qui doivent souvent attendre plus d'un an pour bénéficier d'un placement, ce dernier n'étant d'ailleurs pas toujours adapté à leurs besoins.
