Toucher le bébé, le porter… suppose un ajustement nécessaire, progressif et modulé du parent à son bébé. Craindre de laisser tomber son bébé peut envahir le parent submergé par la dépendance du bébé, par sa vulnérabilité première. L’état tonique, les mouvements émotionnels qui font partie du bébé dans sa propre découverte peut fragiliser le parent dans cette rencontre à l’autre.
Un entretien avec Ayala Borghini, docteur en psychologie (04:33), à l'occasion du Colloque "Soins, corps & langages" organisé les 15,16 et 17 novembre 2018 par l'ARIP.