Professionnels

[Vidéo] Quand l’écran devient refuge en contexte de dépression post-partum

Pascale Gustin (05:13), psychologue clinicienne interroge l'utilisation des écrans en présence des touts petits, notamment en contexte postnatal difficile. Certains parents  déprimés dévitalisés, angoissés, seuls, recourent à la télévision comme moyen d'offrir au bébé une pseudo présence tant eux n'ont pas l'énergie d'être investis dans la relation. Il ne suffit donc pas [Lire la suite]  

« Résilience » ou la lutte pour la vie

(...) L'idée de quelque chose qui résiste aux pressions sans trop se déformer ou en pouvant retrouver sa forme, un peu comme un ressort, existe aux Etats-Unis depuis longtemps. Paul Claudel écrit d'ailleurs dans L'Elasticité américaine : « Il y a dans le tempérament américain une qualité que l'on traduit là-bas par le mot resiliency, pour lequel je ne trouve pas en français de correspondant exact, car il unit les idées d'élasticité, de ressort, de ressource et de bonne humeur . »

Nommer un enfant mort né

La mort d'un enfant pas encore né est un évènement particulier du fait, notamment, de l'absence de vie, du manque de souvenirs, de l'annulation de tout futur possible... et aussi du déni social face à ce non-évènement.
Le travail de deuil sera différent pour chacun, compte tenu de la place de que cet enfant non-né aura pris : un bébé, un fœtus voire un morceau de chair.

La Coordination de la prévention de la maltraitance

Le 23 novembre 2016 (publié au Moniteur le 18 janvier 2017), un  Arrêté du Gouvernement déploie un double objectif dans le cadre de la prévention de la maltraitance. Tout d’abord ; préciser et ancrer le champ d’action de la Coordination de la prévention dans un programme transversal. Et articuler dans un plan coordonné, nommé le Plan de prévention triennal de la maltraitance, les divers programmes : le programme transversal de Yapaka et ceux propres à chaque administration. [Découvrir ce nouveau cadre donné à la prévention de la maltraitance et l'Arrêté qui l'institue

Traiter les aggresseurs sexuels ?

La représentation sociale de l’agresseur sexuel, entre un fou «bon pour l’asile», un malade à soigner, un pervers à normaliser ou un criminel à punir, sanctionner ou enfermer à vie, soulève de multiples paradoxes. Le discours sécuritaire et normatif de nos sociétés modernes se trouve renforcé face aux recrudescences des cas de récidive pénal au sein de la population d’agresseurs sexuels. L’auteur propose de séparer, voire de dissocier, le soin du judiciaire et

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