Des analystes confrontés aux traumas de la Première Guerre mondiale sont devenus les pionniers de la psychanalyse des psychoses, en s'engageant dans le transfert, pour atteindre un inconscient qui, dans ce cas, n'est pas refoulé. Je montrerai comment cet autre paradigme de la psychanalyse, précédant l'abandon par Freud de sa Neurotica, en septembre 1897, est toujours d'actualité.
Françoise Davoine, psychanalyste
Pour les membres : gratuit en présence et 10€ en visioconférence
Pour les non-membres : 15€ en présence et 25€ en visioconférence
psychanalyste (anciennement membre de l’Ecole freudienne)


