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Patrick Lurquin

Patrick Lurquin est psychologue au centre d'accueil d'urgence Henri Jaspar. 

 

“A perdre la raison”, un film qui aide à penser?

Billet invité

Le film de Joachim Lafosse, “A perdre la raison”, s’inspire librement du quintuple infanticide que Geneviève Lhermitte a commis en 2007, à Nivelles (Belgique)

Il a suscité une vive polémique en Belgique, au moment où sa conception a été rendue publique, certains estimant qu’il y avait de l’indécence à prendre pour sujet, un fait divers aussi horrible et surtout, aussi récent.

Médée, Saturne, la Belgique, les enfants... par Paul Hermant

Billet invité - Chronique originale sur la RTBF - La  Première - 23 mai 2012

Décidément : ce que la Belgique fait de ses enfants… Le jour même où la presse critique, le plus souvent positivement d’ailleurs, le film de Joachim Lafosse inspiré par l’affaire Lhermitte et présenté hier à Cannes, voilà que nous avons à retenir un nouveau prénom : "Diana" et un âge, quatre ans. Et le reste, les restes, un surgélateur.

David Puaud

David Puaud est Educateur-Spécialisé, Moniteur-Educateur et docteur en anthropologie sociale et ethnologie. Il enseigne à Sciences-Po Poitiers, travaille comme éducateur dans un service de prévention spécialisée.

Maman et moi

A l'occasion d'un article sur l'attachement, la dernière couverture du Time qui met en scène Jamie Lynne Grumet, allaitant son fils de 3 ans,  suscite un vif débat

Qu'en pensez-vous ?

Sujet est éternel s'il en est...

[Texte] Pour quelles raisons un enfant ne parle-t-il pas des maltraitances qu’il subit ?

Au moment où un cas de maltraitance est avéré pour un enfant en âge de parler, la question se pose souvent de savoir pour quelles raisons celui-ci a gardé le silence et ne s’est pas confié, par exemple, à un professionnel qui l’entoure. La question que nous allons nous poser ici est « pourquoi cet enfant n’a-t-il pas parlé ?» plutôt que « qu’aurais-je dû faire pour qu’il parle ? ».

D’une manière générale, un enfant ne peut pas empêcher la maltraitance d’un parent....

In Points de Repère pour Prévenir la maltraitance, Temps d'arrêt,  PP 37-39, 2023

Questions à Child Focus

Deux récentes campagnes de Child Focus ont amenés de nombreux responsables à poser des questions quant aux missions et pratiques de cet organisme.

Comment les parents peuvent-ils aider leurs enfants à naviguer sur Internet en toute sérénité ?

L’Union européenne finance depuis plusieurs années des programmes de recherche, dont la finalité est de produire des recommandations afin d’améliorer la sécurité des jeunes internautes. Parmi ceux-ci, l’ « EU Kids Online » (3e du nom), auquel participent 33 pays européens, vise à améliorer notre connaissance des usages d’Internet par les enfants en Europe. De nombreuses données statistiques sont produites par ces projets. Celles-ci sont synthétisées dans des documents disponibles en ligne, généralement en anglais.

[Audio] Introduction à la dynamique des groupes en ligne

Un exposé de Yann Leroux qui a appelé son site «psy et geek ». Geek, il est né sur internet un jour de juin 1997 et n'hésite pas à dire qu'il aime jouer en ligne. Psychologue, psychanalyste, il s'est intéressé à la dynamique des relations sur internet et à la possibilité d'utiliser les jeux en ligne dans les thérapies avec les enfants.

Françoise Molénat

Françoise Molénat est pédopsychiatre. Elle a été responsable de l'unité pédopsychiatrique « Petite Enfance » du CHU de Montpellier et attachée de cours à l'Université (C.H.U de Montpellier). Elle a dirigé la revue « Les Cahiers de l'Afrée » et est l'auteur de nombreux livres dont Naissances : pour une éthique de la prévention, Erès 2001 et, avec Luc Rogiers, Stress et grossesse - Quelle prévention pour quels risques ? Erès, 2011.

L’academie de medecine recommande l’utilisation de l’expression « pratiques excessives » et l’abandon de l’expression « addiction aux jeux video »

Billet invité - Publication originale de Yann Leroux sur Psy & Geek ;-)

L’académie de médecine a publié le 1er mars 2012 des recommandations sur les jeux vidéo.

Elle rappelle qu’il faut traiter différemment les cas des adultes et des enfants. S’agissant des plus jeunes elle recommande l’utilisation du terme “jeu excessif” plutôt que celui d’addiction au jeu vidéo

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