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26/11/2015Régulièrement, le Boston Globe propose une galerie de photos. Celle d'aujourd'hui aborde le don
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Une conférence de Mme Frédérique Van Leuven, psychiatre, lors de la journée "Autonomie, attachement et solitude" organisée le 23 octobre 2015 par Synergie asbl.
A l'initiative du Conseil des Femmes Francophones de Belgique(1), une mise au point a été effectuée et des recommandations émises concernant la santé de la maman du prématuré.
En Europe, en 2010, le taux de prématurité se situe entre 5 à 10%. Avec un taux de prématurité d’environ 8%, la Belgique se place globalement dans la moyenne européenne. Environ 11.000 bébés y naissent prématurément dont 1.500 grands prématurés de moins de 32 semaines. Les séjours prolongés à l’hôpital et les soins consécutifs à toutes les séquelles de la prématurité entrainent des coûts importants pour la santé publique et pour la sécurité sociale ainsi que des coûts indirects pour la société.
Nicole Catheline, pédopsychiatre est interviewée dans les inROCKS à propos de la sortie de son livre “Le Harcèlement scolaire” (PUF - coll. Que sais-je?) qui analyse les conditions d’installations de ce phénomène.
On sait aujourd’hui la souffrance des parents, de la famille quand un enfant ne répond pas de manière socialement adaptée, est remuant à l’école, perturbe la classe,... Certains veulent nous faire croire qu’une pilule miracle va «calmer» ces enfants qui bougent trop et se concentrent difficilement.
Un entretien avec Patricia Baguet (4:50), pédospychiatre.
Les enfants découvrent le monde à travers leur motricité : ils bougent, jouent... Petit à petit, avec l'appui des adultes, ils apprennent à contrôler leur motricité, leur pulsionnalité...
Patricia Baguet (3:39), explique comment les écrans provoquent une agitation psychique et en particulier chez les jeunes enfants. En effet, ils n'ont pas encore l'équipement neurologique nécessaire pour résister au trop plein de stimulations générés. Et cela peu importe le contenu. Il est donc vivement conseillé de ne pas mettre les enfants de moins de 3 ans devant un écran. Par la suite, leur utilisation sera progressive, toujours accompagnée et adaptée à l'âge de l'enfant.
Un entretien avec Patricia Baguet (3:50), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (3:18), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (1:45), pédospychiatre.
Patricia Baguet, pédopsychiatre et thérapeute familiale au Service de Santé Mentale "Le Chien Vert" et responsable Thérapeutique Adjointe pour l'unité Parhélie Broqueville.
Auteur : Patricia Baguet
Un entretien avec Patricia Baguet, pédospychiatre. (3:42)
Un entretien avec Patricia Baguet (4:20), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet, pédospychiatre. (5:18)
Un entretien avec Patricia Baguet (3:48), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (6:30), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet, pédospychiatre. (3:14)
Un entretien avec Patricia Baguet (3:59), pédospychiatre.
Un entretien avec Patricia Baguet (1:34), pédospychiatre.
Jouer aide à grandir, à découvrir le monde, à créer, apprend à vivre ensemble, à apprivoiser ses peurs... Or, le jeu occupe parfois trop peu de place dans la vie des enfants et dans l'esprit des adultes préoccupés par tout un tas d'autres choses. Dès lors, comment redonner le goût du jeu, de cette activité gratuite, sans intention pédagogique ?
La campagne "Jeu t'aime" valorise le jeu, invite les parents à jouer avec leurs enfants et les écoles à repenser la place du jeu libre.
Elle se décline sous différents outils : Un livre "Jeu t'aime", les "Rencontres Jeu t'aime" (journées de jeu gratuites pour les familles), les "Récrés Jeu t'aime" (un projet destiné aux écoles maternelles et primaires), un spot, des vidéos, une affiche, des autocollants...
Pour Pascale Gustin (05:41), si les "sièges coques" sont très pratiques, il convient de s’interroger sur la durée que l’enfant passe dedans, ces derniers le limitant dans ses différents besoins. En effet, le bébé a besoin d’être porté dans les bras, d’être contenu à même le corps de l’adulte, il a aussi besoin d’explorer sa propre mobilité, de ressentir la pesanteur…
Un entretien (02:21) avec Marie Rose Moro, professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l' Université Paris Descartes, réalisée lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.
Trouver une place dans un lieu d'accueil "traditionnel" (crèches, gardienne...) pour les jeunes enfants ne se fait qu'à certaines conditions : anticiper l'inscription (il y a de longues listes d'attente), avoir un revenu suffisant (cela peut coûter cher), remplir certains critères (avoir un travail, inscrire l'enfant pour des durées déterminées à l'avance...).
Or, certains parents ne remplissent pas ces conditions. Ils ne peuvent pas anticiper parce qu'un travail ou une formation se présente de manière inattendue, leur situation sociale est précaire, les milieux d'acceuil ne rencontrent pas leurs besoins en terme de flexibilité, de projet....